Même quand on a pour vocation de garder « la positive attitude » quoi qu’il arrive, on n’a pas toujours le contrôle de notre interface émotionnelle. Une licorne reste une femme et a donc la capacité de monter très haut puis descendre très bas. On peut donc se retrouver à « broyer du noir », sur le versant opposé de l’arc-en-ciel. Et dans ces cas là, l’idéal, c’est qu’une autre licorne soit restée, elle, sur l’arc-en-ciel. Il lui suffit alors d’envoyer une corde et de tirer. Cette corde peu avoir un million d’apparences : un cheveux d’ange (fin mais très résistant, et en plus ça brille), un collier de bonbons, un smiley, ou encore, quand on est vraiment partie très très bas, une portée musicale. Rien de tel que la bonne chanson, avec les bons mots, qui disent exactement ce qu’on a besoin d’entendre. Et quand cette chanson s’accompagne d’une chorégraphie, montée spécialement pour accompagner le rythme. Et que cette chorégraphie est offerte en privé, éclairée juste au bon moment par un rayon de soleil, le sourire revient tout seul. Et là, ce n’est plus une corde, c’est un escalier…
Voici la chanson en question…
